Voici quelques symboles indispensables. En premier lieu les quantificateurs:
- ∀ \forall - Quelque soit
- ∃ \exists - Il existe
En géométrie il arrive qu'on utilise les vecteurs →ı et →ȷ avec cette écriture. Comme précisé sur la page consacrée aux accents, on obtient un vecteur sur une lettre en utilisant la commande \vec{...} mais la lettre à l'intérieur n'est pas un 'i' ou un 'j' normal. Il s'agit de symboles là aussi qu'on obtient à l'aide de commandes:
- ı \imath
- ȷ \jmath
Ainsi le vecteur →ı s'obtient par la combinaison des commandes: \vec{\imath} qu'on entoure comme d'habitude par les symboles $ pour indiquer le passage en mode mathématique:
$\vec{\imath}$
D'autres commandes en vrac qu'il est bon de connaître par coeur:
- ℓ \ell (pour distinguer la lettre '\ell' d'un 'i' majuscule par exemple)
- ∂ \partial (utilisé pour désigner le bord d'un ensemble ou la dérivée d'une fonction suivant une variable particulière)
- ′ \prime (donne un accent correspondant à la dérivée d'une fonction)
- √ \surd
- ∠ \angle
- § \S
- ∗ \ast - astérisque
- ∧ \wedge - \produit vectoriel
Quelques symboles ne peuvent être écrits directement car ils ont une signification en tant que commandes. Ainsi les accolades doivent être précédées d'un antislash: \{. De même:
- % \%
- # \#
Au total il y en a 10, se reporter à la page "10 symboles resérvés" pour les connaître tous. Parmi les symboles ayant trait aux ensembles, les suivants sont essentiels:
- ∅ \emptyset - ensemble vide
- ∞ \infty - infini (utilisé pour les limites et tableaux de variations)
On peut représenter un triangle par la commande: \triangle. Ce qui donne: △
Modifier les symboles:
Certains symboles peuvent être agrandis dans une expression en ajoutant le préfixe 'big' dans la commande. Ainsi \cup et \cap donnent les réunions et intersections ∪ et ∩. Avec 'big' on obtient ⋃ en écrivant \bigcup. De même \bigcap donne ⋂. Le symbole ⊕ obtenu à partir de \oplus devient ⨁ avec \bigoplus.